Comment fonctionne le cerveau des entrepreneur·es ?
Une nouvelle étude à l’ULiège et un appel aux entrepreneur·es, confirmé·es et aux jeunes entrepreneur·es des incubateurs étudiant·es
Université publique ouverte sur le monde et ancrée dans le développement scientifique, culturel et économique de sa région, l'ULiège s'appuie sur ses trois piliers : l'enseignement, la recherche et l'engagement citoyen.
L'ULiège forme des citoyens responsables, dotés de connaissances de pointe et d'un esprit critique, capables de partager les savoirs et de faire progresser un monde de plus en plus complexe.
L'ULiège développe et valorise une recherche d’excellence, pluridisciplinaire et en prise directe avec ses enseignements.
L’ouverture au monde est au cœur des priorités de l’Université de Liège. L’institution propose de nombreuses formules de mobilité internationale tant à ses étudiants qu’à ses chercheurs et son personnel, permettant ainsi à chacun de renforcer ses compétences transversales et sa connaissance des langues.
L'ULiège : une expérience à vivre au quotidien. Implantée dans 3 villes et 4 campus, l'université est un acteur incontournable en termes d'environnement et de mobilité.
L’« âgisme » est un anglicisme lié aux stéréotypes qui conditionnent les préjugés négatifs à l’égard du vieillissement et des personnes âgées. Il s’apparente au racisme ou au sexisme.
S
téphane Adam, professeur en psychologie et directeur de l’Unité de psychologie de la sénescence à l’ULiège, et Allison Flamion, doctorante dans cette même Unité, ont étudié les facteurs à l’origine de ces stéréotypes chez les enfants et adolescents. Leurs résultats viennent d’être publiés dans la revue américaine Child Development de la Society for Research in Child Development.
Si globalement les plus jeunes ont une opinion plus positive de la vieillesse que les adultes, les résultats montrent cependant une grande variabilité. « Et le facteur le plus important influençant la perception des jeunes de la vieillesse, c’est la qualité de leur contact avec les grands-parents », souligne Allisson Flamion.
La chercheuse a interrogé 1151 enfants de 7 à 16 ans dans différentes villes de Wallonie et de Bruxelles. Les filles sont globalement plus positives à l’égard des personnes âgée, et les résultats montrent un effet de l’âge : les plus jeunes et les plus âgés de l’échantillon sont les plus susceptibles d’être « âgistes » tandis que les 10-12 ans ont les scores les plus faibles.
C’est toutefois bien la qualité (et pas forcément la quantité) des contacts avec les grands-parents qui façonne le plus une vision positive de la vieillesse chez les enfants et adolescents.
« Nos résultats mettent en évidence le rôle que les grands-parents peuvent tenir dans des programmes intergénérationnels de prévention de l’âgisme », explique le Pr Stéphane Adam. « La prochaine étape est de nous pencher sur ce qui caractérise une relation ‘de qualité’ entre enfants et personnes âgées, et notamment d’examiner les effets sur les enfants de vivre avec ou de s’occuper de leurs grands-parents. »
Ce travail sur les stéréotypes contribue à une meilleure cohésion de la vie en société car « mieux considérer nos vieux, c’est mieux vieillir nous-mêmes », souligne Allison Flamion.
Impact of Contact with Grandparents on Children’s and Adolescents’ Views on the Elderly, Child Development, Flamion, A., Missotten, P., Marquet, M., and Adam, S., Université de Liège
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