200 ans de la cristallerie du Val Saint Lambert
2026 marquera les 200 ans de la cristallerie du Val Saint Lambert. L’Université de Liège a décidé de réaliser une exposition portant sur le verre dans la société actuelle.
Université publique ouverte sur le monde et ancrée dans le développement scientifique, culturel et économique de sa région, l'ULiège s'appuie sur ses trois piliers : l'enseignement, la recherche et l'engagement citoyen.
L'ULiège forme des citoyens responsables, dotés de connaissances de pointe et d'un esprit critique, capables de partager les savoirs et de faire progresser un monde de plus en plus complexe.
L'ULiège développe et valorise une recherche d’excellence, pluridisciplinaire et en prise directe avec ses enseignements.
L’ouverture au monde est au cœur des priorités de l’Université de Liège. L’institution propose de nombreuses formules de mobilité internationale tant à ses étudiants qu’à ses chercheurs et son personnel, permettant ainsi à chacun de renforcer ses compétences transversales et sa connaissance des langues.
L'ULiège : une expérience à vivre au quotidien. Implantée dans 3 villes et 4 campus, l'université est un acteur incontournable en termes d'environnement et de mobilité.
Après la « Soirée fondamentale » organisée à Bozar le 5 décembre dernier, le FNRS a entamé début 2019 une tournée des universités pour aller directement à la rencontre de ses mandataires, des (futurs) chercheurs et du monde académique en Belgique francophone.
L’étape ULiège s’est tenue le 31 janvier dernier aux Amphithéâtres de l’Europe devant plus de 200 personnes parmi lesquelles le Recteur Pierre Wolper, le Premier vice-recteur Jean Winand, le Vice-recteur à la recherche Fabrice Bureau et de nombreux mandataires du FNRS au sein de l’Université de Liège.
Avec cette tournée, le FNRS a pour objectif d’expliquer globalement ses missions, son fonctionnement et sa gouvernance, et de présenter les différents instruments de financement des chercheurs et de leurs projets de recherche. Dans son exposé, Véronique Halloin, Secrétaire générale du F.R.S.-FNRS, s’est attachée à pondérer certaines craintes ou a priori de chercheurs qui postulent au FNRS. Elle a évoqué les projets d’avenir et, notamment, le plan stratégique PHARE20.25 du FNRS.
Consulter la présentation de Mme Halloin
Mais pour le FNRS, ces rendez-vous sont surtout l’occasion de rencontrer directement les chercheurs et ses mandataires, un exercice plutôt rare auquel le FNRS veut remédier en pérénisant le principe de ces rencontres de proximité.
Avant la séance plénière, plusieurs membres du personnel du FNRS ont rencontré des chercheurs de l’ULiège, individuellement ou en petits groupes, pour répondre à des questions concrètes. Ces mêmes chercheurs pouvaient également rencontrer différents acteurs de la recherche à l’ULiège : l’Administration de la Recherche et de l’Innovation, le Comité de Contact FNRS à l’ULiège, le Conseil du Corps Scientifique, le Réseau des Bibliothèques, le Réseau des Doctorants, la Maison de la Science et la Maison des Sciences de l’Homme, Liège Créative, Réjouisciences, le Service de Communication…
La séance s’est terminée par une table ronde sur les missions du chercheur FNRS entre Fabrice BUREAU, Vice-recteur à la recherche, Gilles VANDEWALLE, chercheur FNRS au GIGA, Xavier MINY, juriste et titulaire d’une bourse FRESH en Faculté de droit, et Véronique HALLOIN. Via la plateforme Wooclap, le public a pu également participer à quatre mini-sondages en ligne.
L’ULiège accueille 434 chercheurs FNRS dont 70% disposent de contrats à durée déterminée et 30% de postes permanents. Cela représente 26% des chercheurs financés par le FNRS en Fédération Wallonie-Bruxelles.
Télécharger la brochure "Le FNRS à l’ULiège"
La tournée du FNRS dans les universités, à la rencontre des (futurs) chercheurs et mandataires, est passée à l’ULiège le 31 janvier.
2026 marquera les 200 ans de la cristallerie du Val Saint Lambert. L’Université de Liège a décidé de réaliser une exposition portant sur le verre dans la société actuelle.
Coordonné par l'Université de Liège, le projet souhaite continuer à positionner la Grande Région comme un modèle européen pour la gestion efficace des ressources et des déchets technologiques.
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