
L’ ULiège offre un arbre pour chaque nouvel étudiant inscrit en BAC1
4000 arbres pour 4000 nouveaux étudiant·es ! Un projet de reboisement porté par le Green Office de l'ULiège en partenariat avec l'ONG Friendship.
Université publique ouverte sur le monde et ancrée dans le développement scientifique, culturel et économique de sa région, l'ULiège s'appuie sur ses trois piliers : l'enseignement, la recherche et l'engagement citoyen.
L'ULiège forme des citoyens responsables, dotés de connaissances de pointe et d'un esprit critique, capables de partager les savoirs et de faire progresser un monde de plus en plus complexe.
L'ULiège développe et valorise une recherche d’excellence, pluridisciplinaire et en prise directe avec ses enseignements.
L’ouverture au monde est au cœur des priorités de l’Université de Liège. L’institution propose de nombreuses formules de mobilité internationale tant à ses étudiants qu’à ses chercheurs et son personnel, permettant ainsi à chacun de renforcer ses compétences transversales et sa connaissance des langues.
L'ULiège : une expérience à vivre au quotidien. Implantée dans 3 villes et 4 campus, l'université est un acteur incontournable en termes d'environnement et de mobilité.
L'Observatoire de CBC Banque & Assurance et HEC - Université de Liège révèle que plus d’1/3 des Belges envisagent de recourir au crowdfunding pour financer le secteur de l’économie sociale
En bref, les conclusiosn de l'Observatoire sont :
L’Observatoire CBC/HEC le confirme, le secteur de l’économie sociale est de plus en plus soutenu par les citoyens : près de 30% des Belges ont soutenu financièrement un projet au cours des 12 derniers mois et plus de 40% l’envisagent prochainement. La santé (35%), la lutte contre la pauvreté (28%) et la protection de l’environnement (24%) figurent parmi le top 3 des causes soutenues financièrement.
« Les Belges sont traditionnellement très attachés au secteur non-marchand et aux entreprises sociales. Au plan international, notre pays arrive d’ailleurs en tête en termes de densité associative. La plupart de nos concitoyens sont membres d’une ou plusieurs associations et recourent à leurs services. D’ailleurs, si l’économie de manière générale se redresse, le non-marchand, les ASBL et les coopératives tirent particulièrement leur épingle du jeu. » explique Sybille Mertens, Economiste et Professeur à HEC Liège, l’Ecole de Gestion de l’Université de Liège.
L’Observatoire révèle également que, côté modes de financement, les lignes commencent à bouger : 1/3 des Belges envisagent de recourir au financement participatif pour soutenir un projet d’économie sociale. Et au cours des 12 derniers mois, 20% des contributeurs l’ont déjà pratiqué, ce taux s’élevant à près de 40% chez les jeunes de moins de 34 ans.
La jeune génération de Belges tire donc vers le haut une nouvelle dynamique. Ce recours au crowdfunding symbolise un effet de diversification puisque la prise de participation (25%) et le prêt (5%) sont désormais envisagés à côté du don qui reste encore majoritaire (52%). Interrogés sur les avantages du financement participatif, les Belges avancent le top 3 suivant : la connaissance précise du projet financé pour 37%, la possibilité de suivre ce projet pour 32% et un accès à un large choix de projet pour 21%.
« Les lignes bougent pour le secteur et les Belges s’approprient progressivement les nouvelles tendances en matière de financement. Sur le marché de la générosité, 1 contributeur sur 5 passe par une solution digitale. Et là où le digital permet de manière générale d’abolir les distances, dans le domaine du don les Belges restent sur des projets qui leur sont proches et familiers. La digitalisation ne modifie donc pas fondamentalement les choix des donateurs, mais elle change leurs attentes. Les belges veulent donner du sens à leur soutien et ont trouvé dans le crowdfunding la possibilité de décider directement des causes qu’ils ont envie de soutenir », ajoute Bruno Menu, Directeur Public et Non-Marchand chez CBC Banque.
Au cours des 5 prochaines années, les entreprises du secteur disent être prêtes à financer leurs infrastructures et projets via les subsides (85%), leurs moyens propres (71%) et les dons (52%).
1/3 des organisations envisagent également le don ou le prêt via plateforme de crowdfunding. Entre les intentions et la réalité du terrain, il reste cependant une marge puisque au cours des 5 dernières années, les organisations interrogées disent avoir réalisé ces opérations de financement participatif respectivement à hauteur de 6% et 4%. « Les associations cherchent à augmenter la part des dons dans leur modèle financier ou à inciter les citoyens à investir dans une ou plusieurs entreprises sociales. Les platesformes de crowdfunding sont un outil intéressant dans ces deux cas de figure. Sur le marché belge, nous voyons depuis 2014 apparaître des platesformes qui hébergent des projets « à impact social ». Nous en avons dénombré 8 à ce jour qui s’y consacrent parfois même exclusivement. La plupart font du crowdgiving, c-à-d du don et une seule propose pour le moment des prises de parts.En 2016 et 2017, elles ont mobilisé ensemble près de 11,5 millions d’euros. » explique Sybille Mertens.
Enfin, selon l’Observatoire CBC/HEC, la possibilité de faire connaître son institution auprès d’un public plus large (89%), le renouvellement des donateurs/financeurs (70%) et le manque de moyens pour financer leurs projets et infrastructures (70%) apparaissent dans le top 3 des motivations des associations et entreprises sociales à recourir au financement participatif. « Les associations craignent que les ressources publiques ne soient à l’avenir pas suffisantes. Le digital fait donc son entrée dans le secteur et ouvre les horizons. Il est clair qu’avec les jeunes générations le financement participatif en ligne va encore prendre de la place au cœur d’un secteur qui, signe des temps, ne cesse de croître dans la société et ne va certainement pas s'arrêter là. » conclut Bruno Menu.
PRIDE
Aurélie Coeckelbergh / Laure Miquel-Jean
aurelie.coeckelbergh@pr-ide.be /Laure.miquel-jean@pr-ide.be
0479 261 613 / 0477 31 71 61
Press Room CBC : http://cbc.prezly.com/
4000 arbres pour 4000 nouveaux étudiant·es ! Un projet de reboisement porté par le Green Office de l'ULiège en partenariat avec l'ONG Friendship.
Sébastien Brunet, Professeur de Sciences politiques à l'ULiège, tente de convaincre citoyens et politiques d’embarquer ensemble dans un exercice d’imagination, et ainsi de semer les graines du futur qui nous semble désirable.
Les insignes leur seront remis lors de la séance de rentrée académique le 19 septembre 2023.