Sport de haut niveau : Liège / Louvain-la-Neuve, l’alliance pour l’excellence
L’UCLouvain et l’ULiège voient leur projet conjoint d’infrastructures sportives retenu par le Gouvernement wallon.
Université publique ouverte sur le monde et ancrée dans le développement scientifique, culturel et économique de sa région, l'ULiège s'appuie sur ses trois piliers : l'enseignement, la recherche et l'engagement citoyen.
L'ULiège forme des citoyens responsables, dotés de connaissances de pointe et d'un esprit critique, capables de partager les savoirs et de faire progresser un monde de plus en plus complexe.
L'ULiège développe et valorise une recherche d’excellence, pluridisciplinaire et en prise directe avec ses enseignements.
L’ouverture au monde est au cœur des priorités de l’Université de Liège. L’institution propose de nombreuses formules de mobilité internationale tant à ses étudiants qu’à ses chercheurs et son personnel, permettant ainsi à chacun de renforcer ses compétences transversales et sa connaissance des langues.
L'ULiège : une expérience à vivre au quotidien. Implantée dans 3 villes et 4 campus, l'université est un acteur incontournable en termes d'environnement et de mobilité.
Un ensemble de cinq toiles historiées et de deux bandeaux décoratifs du peintre liégeois Paul-Joseph Carpay, vendu aux enchères en 2014, a été acquis par le Fonds David-Constant géré par la Fondation Roi Baudouin. Ces toiles ont été confiées à l'Université de Liège et décorent désormais un salon rénové du château de Colonster.
Le Fonds David-Constant a été créé en 2003 par legs d’un important patrimoine de Simone David-Constant, professeure à la Faculté de Droit de l’ULiège, dans le but de promouvoir les études et la recherche dans le domaine du droit, d’aider l’enfance défavorisée et de valoriser le patrimoine artistique mobilier, en privilégiant les projets liégeois. Or Paul-Joseph Carpay (1822-1892) était un peintre décorateur très demandé dans la région de Liège. Ses oeuvres, représentant généralement des scènes d'histoire locale, mythologiques ou allégoriques et des guirlandes de fleurs ou corbeilles de fruits, ont décoré de nombreux bâtiments publics, des demeures privées et des églises liégeoises. Citons, entre autres, le Palais provincial, les Thermes de Spa, la Société littéraire, le château du Comte de Flandre à Bruxelles, le château Saint-Gerlach à Valkenburg, l'hôtel de Donnea, l'église du Grand Séminaire ou encore l'église Saint-Antoine. Il était donc naturel que le Fonds s'intéresse à cet ensemble d'oeuvres retrouvées en très bon état en 2012 dans le grenier du château Naveau de Marteau à Bommershoven.
L'ensemble accroché à Colonster, inhabituel dans la production de Paul-Joseph Carpay, met en scène un conte des Mille et une nuits, l'histoire d'Aladin, précédant ainsi d'une ou deux décennies l'engouement qui émergera dans la peinture à l'aube du XXe siècle.
Carpay divise le récit d'Aladin et la lampe merveilleuse en cinq scènes.
Dans le premier tableau, Aladin s'est introduit, à la demande d'un magicien africain, dans une caverne étroite et profonde où lui-même ne peut entrer, pour y récupérer une lampe. Le magicien lui a donné un anneau magique pour le protéger. Mais au retour, Aladin se retrouve enfermé et refuse de donner la lampe si le magicien ne le fait pas sortir de là. Celui-ci finit par l'abandonner dans la grotte, mais le Génie de l'Anneau magique, un géant drapé d'un manteau rouge, va le libérer.
Dans le deuxième tableau, c'est le Génie de la Lampe qui apparaît à Aladin et sa mère, dans leur humble demeure. Il est représenté ailé et monochrome, les pieds émergeant de fumées. Grâce au Génie de la Lampe, Aladin devient riche et éduqué. Un jour, il aperçoit Badroulboudour, la fille du Sultan, dont il tombe amoureux. La scène du troisième tableau montre la mère d'Aladin demandant au sultan la main de la princesse pour son fils et lui offrant un vase rempli de pierreries. La grande toile suivante illustre leur mariage : la princesse quitte avec son escorte le palais de son père pour rejoindre le palais coloré d'Aladin.
Mais le magicien africain revient et convainc Badroulboudour de lui donner la lampe, dont elle ignore l'intérêt. Grâce au Génie de la Lampe, il emporte la princesse et le palais dans une contrée lointaine. Cependant, Aladin invoque le Génie de l'Anneau et se fait transporter auprès de Badroulboudour. Risquant sa vie, il s'attaque au magicien et le tue. La dernière toile montre Aladin, étreint par son épouse, devant le corps sans vie de son ennemi.
Chacune des toiles présente un aspect gaufré, imitant à la perfection la trame d'une tapisserie. Afin de rendre le trompe-l’œil plus convaincant encore, l’artiste a varié la tonalité du rouge de manière à inverser le rapport d’ombre et lumière entre le haut et le bas de la composition.
(d'après Eva Milet, Art&fact)
Les cinq toiles de Paul-Joseph Carpay illustrant le conte d'Aladin et la lampe merveilleuse.
L’UCLouvain et l’ULiège voient leur projet conjoint d’infrastructures sportives retenu par le Gouvernement wallon.
Lisette Lombé diplômée de la Faculté de Philosophie et Lettres, a été mise à l'honneur ce mardi 9 avril 2024 à l'ULiège. A la fois enseignante, slameuse, poétesse, romancière, elle est aujourd’hui la nouvelle poétesse nationale de Belgique.
Soucieuse du bien-être de ses étudiant·es, l'Université de Liège propose des chèques repas valables dans les restaurants et cafétérias universitaires pour soutenir ceux et celles qui peinent à faire face aux dépenses du quotidien.