200 ans de la cristallerie du Val Saint Lambert
2026 marquera les 200 ans de la cristallerie du Val Saint Lambert. L’Université de Liège a décidé de réaliser une exposition portant sur le verre dans la société actuelle.
Université publique ouverte sur le monde et ancrée dans le développement scientifique, culturel et économique de sa région, l'ULiège s'appuie sur ses trois piliers : l'enseignement, la recherche et l'engagement citoyen.
L'ULiège forme des citoyens responsables, dotés de connaissances de pointe et d'un esprit critique, capables de partager les savoirs et de faire progresser un monde de plus en plus complexe.
L'ULiège développe et valorise une recherche d’excellence, pluridisciplinaire et en prise directe avec ses enseignements.
L’ouverture au monde est au cœur des priorités de l’Université de Liège. L’institution propose de nombreuses formules de mobilité internationale tant à ses étudiants qu’à ses chercheurs et son personnel, permettant ainsi à chacun de renforcer ses compétences transversales et sa connaissance des langues.
L'ULiège : une expérience à vivre au quotidien. Implantée dans 3 villes et 4 campus, l'université est un acteur incontournable en termes d'environnement et de mobilité.
Une étude à laquelle ont participé les chercheurs du SportS2, le service pluridisciplinaire de médecine et traumatologie du sport du CHU et de l’Université de Liège, démontre qu'il est risqué de poursuivre une activité physique alors que l'on est atteint du COVID-19. Les chercheurs rappellent les règles d'or de la pratique sportive.
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algré le confinement dû à la pandémie COVID-19, il reste autorisé voire recommandé de faire du sport de manière modérée. En effet, toute activité physique régulière et en-dessous de 80% de sa fréquence cardiaque maximale est bénéfique pour la santé. Cependant, faire une activité physique alors que l’on est infecté par le COVID-19 pourrait être dangereux pour le coeur… et cela peut être observé notamment grâce à l’analyse de marqueurs biologiques dans les prises de sang.
D’après le National Institute of Health (NIH), un marqueur biologique est défini comme « une caractéristique pouvant être mesurée objectivement dans un liquide biologique comme le sang et reflétant les processus biologiques sains ou pathologiques ou la réponse pharmacologique à un traitement », c’est à dire qu’il s’agit de marqueurs présents dans le sang et qui permettent d’aider à suivre la santé de différents organes.
Ceux-ci peuvent aider à:
Parmi ces marqueurs biologiques, deux sont très utilisés dans le diagnostic des problèmes cardiaques comme l’infarctus, l’insuffisance cardiaque …, à savoir la troponine (TnI/T) et le peptide natriurétique de type B (NT-proBNP). Dans le cas du COVID-19, ces biomarqueurs peuvent augmenter jusqu’à 1000x les valeurs normales attendues.
À ce propos, le Collège Américain de Cardiologie (ACC) a publié ce 18 mars un avertissement sur les dosages de la TnI/T et du NT-pro BNP chez les patients atteints du COVID-19. Chez ces patients, ces marqueurs de nécrose cardiaque et d’insuffisance cardiaque sont très souvent élevés. Ces augmentations sont associées à un moins bon pronostic: durée d’hospitalisation plus longue, plus de complications, mortalité plus élevée. Par contre, ces augmentations ne sont pas systématiquement synonymes de la survenue d’un infarctus du myocarde ou d’une insuffisance cardiaque. Ces éléments, parmi bien d’autres, témoignent de l’action du virus sur le cœur ou de l’atteinte systémique secondaire à l’infection. Les mécanismes sont probablement multiples et encore mal expliqués mais une inflammation du muscle cardiaque est possible, on appelle cela une myocardite. Si les cas de myocardites graves sont rares, des formes sans ou avec peu de symptômes peuvent être plus fréquentes. Le repos constitue le meilleur des traitements en dehors d’un éventuel traitement ciblé sur le virus. Dans ces conditions, toute agression supplémentaire est inutile voire dangereuse. La pratique sportive prolongée et/ou à haute intensité est une agression supplémentaire et inutile qui doit être évitée… Il est en effet recommandé depuis plusieurs années, en situation de fièvre ou de douleurs musculaires (courbatures), d’arthralgies dans le cadre d’un syndrome grippal, de stopper l’activité physique pendant au moins 8 jours après la résolution des symptômes. Ne sachant pas exactement qui est malade/porteur/guéri, chacun doit être prudent vis-à-vis de ses activités physiques qui, pour rappel, doivent rester modérées dans l’intensité (<80%) et dans la durée.
Troponin and BNP Use in COVID-19 | American College of Cardiology
Les 10 règles d'or | Club des cardiologues du sport
SportS2 - service pluridisciplinaire de médecine et traumatologie du sport du CHU et de l’Université de Liège
Dr Arnaud ANCION, service de Cardiologie (CHU de Liège), GIGA (ULiège)
Caroline LE GOFF service de Chimie Clinique (CHU de Liège) CIRM (ULiège)
Prof Jean-François KAUX, Service de Médecine Physique, Réadaptation Fonctionnelle et traumatologie du Sport, CHU et Université de Liège
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Coordonné par l'Université de Liège, le projet souhaite continuer à positionner la Grande Région comme un modèle européen pour la gestion efficace des ressources et des déchets technologiques.
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