200 ans de la cristallerie du Val Saint Lambert
2026 marquera les 200 ans de la cristallerie du Val Saint Lambert. L’Université de Liège a décidé de réaliser une exposition portant sur le verre dans la société actuelle.
Université publique ouverte sur le monde et ancrée dans le développement scientifique, culturel et économique de sa région, l'ULiège s'appuie sur ses trois piliers : l'enseignement, la recherche et l'engagement citoyen.
L'ULiège forme des citoyens responsables, dotés de connaissances de pointe et d'un esprit critique, capables de partager les savoirs et de faire progresser un monde de plus en plus complexe.
L'ULiège développe et valorise une recherche d’excellence, pluridisciplinaire et en prise directe avec ses enseignements.
L’ouverture au monde est au cœur des priorités de l’Université de Liège. L’institution propose de nombreuses formules de mobilité internationale tant à ses étudiants qu’à ses chercheurs et son personnel, permettant ainsi à chacun de renforcer ses compétences transversales et sa connaissance des langues.
L'ULiège : une expérience à vivre au quotidien. Implantée dans 3 villes et 4 campus, l'université est un acteur incontournable en termes d'environnement et de mobilité.
Les équipes de recherche de l’Université de Liège sont totalement engagées dans la lutte contre l’épidémie de coronavirus. La communauté scientifique du GIGA, riche de compétences interdisciplinaires très complémentaires pour comprendre le virus, s’est réorganisée et répartie en groupes thématiques, en particulier pour développer des méthodes permettant d’amplifier significativement les capacités de tests.
E
n lien direct avec les équipes médicales du CHU de Liège et en collaboration avec des équipes du FARAH, plusieurs groupes de travail ont été mis en place sur différentes thématiques :
Les premiers objectifs sont d'augmenter fortement la capacité de test, à la fois pour les virus et les anticorps, en utilisant des protocoles aussi efficaces que possible et surtout peu dépendants des sources externes de consommables dont l’approvisionnement est menacé, de lancer des recherches pour comprendre pourquoi certaines personnes développent des symptômes potentiellement mortels et d'autres pas, et enfin de lancer des recherches pour évaluer les taux réels d'infection et de séroconversion dans la population générale et leur corrélation avec les symptômes. Ces données apparaissent en effet essentielles pour mieux gérer l'épidémie.
Les premiers résultats pour le développement d’une méthode de test à plus grande échelle sont très encourageants. Cette méthode est automatisable, peu dépendante de réactifs actuellement trop peu disponibles, et ne nécessite la présence simultanée que de quatre personnes. Ce test automatisable montre déjà 90% de concordance avec les tests des laboratoires de référence.
Sur cette base, l’Université de Liège va effectuer les démarches pour devenir laboratoire homologué pour le dépistage du SARS-CoV-2, virus responsable de la maladie Covid-19. Le laboratoire universitaire serait alors adossé au laboratoire de référence du CHU de Liège.
« Le CHU de Liège a actuellement une capacité de 100 tests par jour, ce qui est très insuffisant, explique Fabrice Bureau, Vice-recteur à la recherche de l’ULiège. Le robot que vient d’acquérir l’hôpital va permettre d’en effectuer 1000 de plus par jour. Et avec la méthode développée par les chercheurs de l’ULiège, nous espérons rapidement pouvoir en réaliser 2000 supplémentaires quotidiennement, avec l’avantage d’une filière plus indépendante de la disponibilité de réactifs. »
« Pour développer l’automatisation de ces tests, nous aurons aussi besoin de certains matériels qui manquent ou risquent de manquer, comme des microbilles magnétiques ou des écouvillons pour les prélèvements chez les personnes testées. Les appels sont lancés parmi les chercheurs, dans d’autres Facultés, pour nous aider à trouver rapidement des solutions. Des microbilles magnétiques ont d’ailleurs déjà été produites en urgence par les chimistes de la Faculté des Sciences. »
Les prochaines étapes sont maintenant de confirmer, automatiser et homologuer cette nouvelle méthode, « dans les deux semaines qui viennent » espère Fabrice Bureau.
La mobilisation est générale à l’ULiège pour mieux connaître la maladie, amplifier les capacités de test et soutenir les équipes médicales en première ligne dans les hôpitaux.
L'Université de Liège participe, avec l’UCLouvain, à un projet de soutien au diagnostic du Covid-19 en République démocratique du Congo, avec le soutien de Wallonie-Bruxelles International (WBI).
Un élan de solidarité s’est rapidement manifesté dans les laboratoires qui peuvent aider les équipes médicales en leur apportant du matériel utile au suivi et au traitement des patients. Plus de 16000 masques chirurgicaux ont été fournis par la Faculté de Médecine vétérinaire, et des milliers d’autres ainsi que des gants, des tabliers, des désinfectants… ont été transportés au CHU de Liège en provenance des laboratoires de l’ULiège, sur tous les campus (TERRA à Gembloux Agro-Bio Tech, Chemical Engineering,…). Des stocks de réactifs nécessaires au dépistage du Covid-19 ont également été fournis au laboratoire de référence du CHU de Liège.
Fabrice BUREAU | Vice-recteur à la recherche | Université de Liège
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