Jacques Balthazart receives the Elliott Coues Award from the American Ornithological Society
Professor emeritus of the University of Liege, this prize is awarded for his innovative work in the fields of avian endocrinology and neurobiology.
As a public university open to the world and is anchored in the scientific, cultural and economic development of its region, the University of Liège relies on its three pillars: teaching, research and civic engagement.
ULiège trains responsible citizens who are provided with cutting-edge knowledge and critical thinking, are able to share knowledge and can push forward an increasingly complex world.
ULiège develops and promotes excellence in research, multidisciplinary and direct engagement with its instruction.
Global exposure is a top priority at the University of Liège. The institution offers a wide range of international mobility opportunities to students, researchers and staff, enabling them to enhance their cross-disciplinary skills and language knowledge.
ULiège: an experience of daily living. Located in 3 cities and 4 campuses, the university is a key player in terms of the environment and mobility.
Destiné à la formation pratique des sapeurs-pompiers de la brigade Animal Rescue Team de la zone de secours Hesbaye, l’exercice du samedi 24 mars intervient dans le cadre d’un triple projet que l’Université de Liège et sa Faculté de Médecine Vétérinaire soutiennent en faveur du sauvetage animalier en situation d’urgence
Le premier projet vient d’une collaboration récente entre la Clinique Vétérinaire Universitaire (CVU, Faculté de Médecine vétérinaire, ULiège) représentée par le Pr Hugues Guyot comme vétérinaire et la zone de secours Hesbaye, représentée par le Sergent Michaël Robert, fondateur de l’Animal Rescue Team, une brigade de pompiers spécialement formée pour les interventions de sauvetage animalier. La collaboration consiste en des interventions de sauvetage (situations réelles déjà rencontrées : taureau dans un étang, vache ou cochon dans une rivière, animal divaguant, accidents de la circulation, incendies, etc.) où un partenariat efficace s’est créé entre les services de secours et le vétérinaire, au profit de la sécurisation des personnes, des biens et des animaux. Cette collaboration s’étend désormais à la formation bilatérale (pompiers vers vétérinaire et vétérinaire vers pompiers), à des représentations (salon du cheval, journées portes ouvertes de la Faculté de Médecine vétérinaire ou des services de secours, etc.) et à des exercices de simulation, tel celui du 24 mars à la Ferme expérimentale du Sart Tilman, qui font partie intégrante de la formation.
Le deuxième projet, plus global, implique le KCCE (Centre fédéral de connaissances pour la Sécurité civile, organisme officiel de formation des pompiers) et la Faculté de Médecine vétérinaire de l’Université de Liège dans le cadre d’une convention actuellement discutée. Cette convention permettra d’utiliser les ressources de l’Université de Liège pour former les pompiers de Wallonie au secours animalier, mais également des vétérinaires et des étudiants de master en médecine vétérinaire.
Enfin, le troisième projet est l’aboutissement de ces collaborations renforcées. Il consiste à établir en Belgique un statut officiel de « pompier-vétérinaire », similaire à ce qui existe dans d’autres pays européens, par exemple en France. Les missions de ces « pompiers-vétérinaires » sont d’apporter aux services de secours et aux citoyens une expertise et une réponse tactique urgente et efficace dans toute situation où les animaux de toutes espèces sont impliqués, soit en tant que victimes, soit en tant que risques pour la population ou l’environnement. Le « pompier-vétérinaire » sera formé par ses pairs vétérinaires sous la forme d’un certificat universitaire mais également par les zones de secours, afin de pouvoir être opérationnel au plus près du danger, avec le maximum d’efficacité. Une fois la situation maîtrisée et les soins conservatoires administrés, le « pompier-vétérinaire » cède sa place au vétérinaire traitant de l’animal ou à une clinique vétérinaire, afin de poursuivre les soins, diagnostics ou traitements.
Ce projet de statut de « pompier-vétérinaire » est fortement soutenu par la Faculté de Médecine vétérinaire (ULiège) ainsi que par l’Union Professionnelle Vétérinaire (groupe experts Eco-Veto) et l’Ordre des médecins vétérinaires. Il est en cours de présentation au Ministère de l’Intérieur.
Samedi 24 mars, 13h10, un appel téléphonique parvient au 112 : un départ de feu est constaté dans une exploitation agricole au Sart Tilman. L’exploitant est paniqué et explique voir un grand dégagement de fumées d’un de ses halls de stockage. Outre d’éventuelles victimes humaines, Il y a un grand nombre de vaches vêlées à sauver…
Voilà le point de départ du scénario fictif proposé aux services de secours et à la brigade Animal Rescue Team de la zone de secours Hesbaye dans le cadre de cet exercice grandeur nature qui ponctue leur journée de formation à l’Université de Liège.
Les fumées sont non toxiques et non irritantes pour les animaux comme pour les humains (fumées de concert). Les services de secours auront la mission de mettre à l’abri les personnes, les animaux et de protéger les installations.
Depuis une vingtaine d’années existe en France un statut particulier chez les vétérinaires : le statut de POMPIER-VETERINAIRE. Ces praticiens sont formés à l’Ecole Nationale Supérieure des Officiers de Sapeurs-Pompiers ainsi que par les Zones de Secours qui les intègrent en tant que Capitaine Sapeur-Pompier-Vétérinaire. Leurs missions sont variées et portent sur :
Professor emeritus of the University of Liege, this prize is awarded for his innovative work in the fields of avian endocrinology and neurobiology.
The Interreg EMR-funded project is almost completed after over four years of research that led to the establishment of a unique state-of-the-art technology platform in Europe.
In a study published in Science Advances, Benjamin G. DEWALS (ULiège) and William HORSNELL (University of Cape Town) found that long-term immunity against certain infections is also acquired during breastfeeding regardless of a transfer of maternal antibodies.